Faeryl Baenre
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Feuille de personnage Race: Menzoberranzan Alignement: [Bon][Neutre][Mauvais]
| Sujet: Faeryl Baerne | Dark Elf | Mar 1 Juin - 21:43 | |
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Je suis ; Elfe Noire Âge approximatif ; En réalité en bon millier d'années mais en apparence 20 ans Loyauté ; A une époque Saroumane/Sauron mais maintenant qui sait… Lieu de naissance ; Menzoberranzan Orientation Sexuelle ; Hétéro Statut social ; Rodeuse Personnalité sur l'avatar; Yuna Ito
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_« •• I want to know about it more ! »_ | History
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Menzoberranzan, une ville loin sous la surface. Une ville bâtie il y a bien longtemps par une partie d’elfes, ces elfes aux idées particulières qui voulurent rejetaient leur mère nature. Ces elfes appelaient aujourd’hui Elfe Noir. Noir en référence à leur peau qui se transforma au fur et à mesure du temps ou noir pour la couleur de leur cœur, leur tempérament sombre, ces Elfes préférant les ténèbres à la lumière, je ne serais vous le dire. Mais en ce jour, à Menzoberranzan, une nouvelle est en train de se répandre un peu partout dans la ville. Le seigneur Zaknafein Baenre, la famille la plus puissante de Menzoberranzan sur les huit, mais surtout la grande prêtresse de Lolth, la déesse araignée, Laele venaient de d’avoir leur troisième enfant, à nouveau une petite fille. Sachant déjà le nom qu’ils allaient lui donner si Lolth leur donnait à nouveau la joie d’avoir une fille, leur décision fut vite prise et le nom de la petite fille se diffusa très vite dans la ville souterraine, la nouvelle enfant des Baenre s’appelait Faeryl. Pourquoi une autre fille semblait si importante aux yeux de Zaknafrein ? Tout simplement que chez les Elfes Noirs, ceux sont les femmes qui dirigent la cité, la société. Ceux sont elles que Lolth favorise chaque jour et avoir une fille, ou plusieurs, c’est s’assurer la pérennité de la famille. Surtout que Baenre était la famille la plus influente de la cité. Certains les comparer à des souverains alors qu’ils n’étaient pas les seuls à diriger Menzoberranzan, sept autres familles avaient également cette tâche bien que celle des Baenre était la plus reconnue.
Cette famille se composait de deux filles, Faeryl, la troisième enfant, Erelda, l’aînée ainsi que Elkantar, le seul fils de la maison Baenre. La petite Faeryl passa plusieurs centaines d’années à vivre sous Terre, sans jamais manquée de rien. Elle apprit donc comme toutes les filles de l’Ombre Terre à se battre, que ce soit à l’épée ou à l’arc. Elle essayait toujours de s’améliorer lors de ses entrainements, bien plus avec des armes qu’en utilisant la magie, en futur prêtresse de la déesse araignée, Faeryl aurait dû apprendre avec plus d’assiduité cet art si complexe. Mais elle n’en n’avait vraiment pas envie, assez têtue de nature, elle préférait de loin se battre, sentir son ennemi près d’elle, la monté d’adrénaline caractéristique des combats qu’elle ne pouvait retrouver dans la magie. Faeryl fut une jeune Elfe exemplaire, toujours prête à honorer sa famille et surtout Lolth, la déesse qui vieille sur elle et sa maison.
Cependant ce n’est pas parce qu’on fait ce qu’on nous demande, qu’on aime forcément cela. Faeryl aurait préféré déjà inverser son rôle avec celui de sa sœur aînée, chargée de devenir une guerrière plutôt qu’une prêtresse, Faeryl aurait de loin préféré cette vie plutôt que de rester à Menzoberranzan à servir Lolth. Sa relation avec sa sœur est assez tendue, Erelda préférant sûrement la situation de sa jeune sœur. Etre prêtresse signifie surtout que c'est elle qui reprendrait la maison, qu'elle serait la matrone, donc la plus respectée. Faeryl n'a jamais demandé à devenir matrone, sa vie a été entièrement planifiée comme celle d'Erelda et Elkantar. Lorsque la guerre éclata à la surface et que les Elfes Noirs partirent pour aider Saroumane, Faeryl sentit alors le poids énorme de la vie qu'on lui imposait. Rester éternellement sous terre, ne jamais voir comment c'est la surface. Bien qu'elle soit consciente qu'elle ne pourrait pas vivre à la surface à cause du soleil, elle aimerait tellement voir autre chose que des pierres et des tunnels dans le sol.
Tout le long de la guerre où les Elfes Noirs revinrent enfin victorieux, Faeryl ne fit rien d'autres que d'assister à des réunions entre les plus grandes familles et de continuer à servir Lolth du mieux qu'elle pouvait. A la fin de la guerre, tout devait redevenir normal sauf quand les Elfes Noirs apprirent que les Hommes faisaient toujours la résistance à la surface contre Sauron. Avant que son frère et sa sœur ne soient rappeler, Faeryl décida de prendre les devant. Délaissée lors de la première guerre, elle ne voulait pas qu'il en soit de même pour la suivante. Sans encore prendre vraiment de partie, bien qu'elle sait que son peuple a prêté allégeance à Sauron, Faeryl a envie de voir la surface, y rencontrer les gens avant de prendre sa décision dans cette guerre, au risque de déplaire à sa famille et à Lolth.
Caractère & Physique
. Faeryl a toujours était une fille obéissante, toujours prête à aider sa famille et à servir sa déesse. Cependant elle est très déterminée, limite têtue, elle ne renoncera jamais à quelque chose qu'elle a dans la tête, c'est d'ailleurs pour ça qu'elle est partie de Menzoberranzan. Malgré toutes les interdictions, elle est assez têtue pour y aller quand même. Cette obstination peut paraître comme du courage mais Faeryl n'est pas courageuse au point de risquer sa vie pour quelqu'un autre. En tant qu'Elfe Noir, elle pense d'abord à elle plutôt qu'à quelqu'un d'autre. La "jeune" Elfe est également très curieuse, elle aime découvrir de nouvelles choses, surtout quand il s'agit du monde de la surface, ce monde qui la fascine et qui la fait rêver. Une autre raison de son départ de l'Ombre Terre ? Surement… Mais même si elle est très curieuse envers les autres peuples de la surface, Faeryl en garde tout de même des appréhensions, ceux sont tout de même des ennemis potentiels et elle préféra de loin décocher en première sa flèche. Elle est curieuse mais pas complètement idiote, même plutôt assez méfiante vis-à-vis des peuples de la surface. Elle redoute surtout ses futures confrontations avec les Elfes, certainement la race qui hait le plus les Elfes Noirs.
Quand on a son physique, il est très banale pour une Elfe Noire. Bien qu'elle n'ai pas les cheveux blancs et la peau noir de jais, elle reste tout de même très foncée de peau et ses cheveux sont aussi noirs qu'une nuit sans lune tombant dans son dos. Ses yeux rouges sont assez caractéristiques des Elfes noirs, rien de bien extraordinaire. Faeryl est de taille moyenne pour une Elfe Noir, donc peut être un peu plus petite qu'une Elfe de la surface mais elle est aussi mince que n'importe quel autre elfe. D'une beauté et d'une grâce sans pareil, elle ne laisse pas les hommes indifférents comme la plupart des Elfes. Au niveau vestimentaire, Faeryl porte souvent une grande robe noir, certainement la couleur préférée des Elfes Noirs. Sinon quand elle est à cheval, elle privilégie plus les vêtements d'hommes, ce qui est plutôt rare pour une Elfe. |
_« •• Who shares your life ? ! »_ _« •• And you ! Yes you, behind the computer ! ! »_ Pseudo ; Sayo Age & sexe ; It's a secret Comment as-tu découvert le forum ; Coin pub Comment le trouves-tu ; Très beau, je recherche un forum sur le seigneur des anneaux et je suis tombée dessus Exemple de Rp ;
- Spoiler:
Par toutes les fenêtres des maisons de Menzoberranzan, il faisait nuit. A vrai dire, sous terre c’était assez rare qu’il fasse jour. Une ville construite sous la surface ne peut être éclairée par les rayons du soleil. D’ailleurs à quoi cela pouvait il ressemblait un rayon de soleil ? Malgré plusieurs centaines d’années d’existence, Faeryl ne savait même pas à quoi cela pouvait ressembler, elle n’avait jamais quitté cette ville depuis qu’elle était née. Et pour avoir des détails de la part de sa sœur ou de son frère, elle pouvait toujours attendre, il prétendait n’être jamais sortis tant que la lune n’avait pas commencé à monter dans le ciel. Et la lune était comment ? D’après Erelda, c’est rond et tout blanc, ça éclaire un peu mais sans plus. Pour Elkantar, c’était quelque chose d’extraordinaire, il trouvait que ça avait un charme très inhabituel et que la surface était complètement différente de ce qu’il avait imaginé, mais qu’avait il imaginé ? Qu’avait il vu là haut ? Faeryl aurait beau le crier dans toutes les langues, elle savait qu’elle n’aurait pas sa réponse. Pourquoi lui expliquer ce qu’elle n’est pas censée savoir ? Expliquons-nous notre plan d’attaque à notre ennemi ? Et bien cela semblait être pareil pour Faeryl. Prêtresse de Lolth, elle n’est pas censée savoir surtout si la déesse s’en aperçoit alors là, ça sera le drame ! Imaginer un instant déshonorer et déplaire à Lolth, Faeryl tuerait ses parents si une telle chose arrivait. Ou alors ça serait Lolth elle-même qui viendrait mettre fin aux jours d’une de ses servantes et elle est très imaginative pour ce genre de choses.
Assise prêt de la fenêtre de sa chambre, Faeryl regarda la ville bouger, vivre comme si le manque de lumière ne dérangeait personne. La vie continuait son cours bien que ce qui devait être la nuit à Menzoberranzan commença à tomber. Un des défauts qui devait caractériser la jeune Elfe, c’était son envie d’évasion, de voir autre chose que la nuit et les ténèbres et… Les araignées. La cité en était infestée, représentation animal de Lolth, il est normal qu’elles grouillent partout. Certains disent qu’elles sont là pour espionner les Elfes et tout rapporter à leur déesse. Qui sait… Ces créatures étaient aussi viles que leur propriétaire et que la déesse qu’elle représente. Quand elle quitta du regard la ville qui continuait à s’animer quelques niveaux plus bas, Faeryl reporta son attention dans son miroir, ce reflet qu’elle n’appréciait pas spécialement mais elle avait besoin de se voir pour peser le poids de sa décision. Mais elle n’était toute à fait seule à se regarder. 8 autres yeux étaient fixés sur elle, une araignée de la taille d’un chien, ou de s’en rapproche le plus, était à côté de l’Elfe et attendait. Quoi ? Personne ne serait vous le dire. Elle était juste là, à regarder l’elfe qui vivait dans la seule maison qu’elle n’ait jamais connu. Pour la première fois, elle ne portait de grandes robes noires qui mettaient en avant sa beauté et sa grâce. Là au contraire, elle avait revêtit des vêtements d’homme, un pantalon noir serré, des bottes ainsi qu’un haut de la même couleur que le reste. Mais il est plutôt rare pour une araignée d’émettre un avis sur la tenue vestimentaire de son « propriétaire ». Faeryl abandonna rapidement son reflet pour porter son attention sur l’animal à 8 pattes. Elle effleura délicatement ses longs doigts fins la tête de la créature qui ferma doucement ses 4 paires d’yeux. Faeryl se leva alors doucement en jetant un dernier coup d’œil par sa fenêtre et elle se dirigea doucement vers son lit. Y étaient posés une longue épée. La lame était fine et le manche représentait une araignée argentée. Un arc noir était également pose à côté de l’épée. Faeryl hésita un instant avant de revêtir une longue cape noire. Elle prit les armes, déterminée avant de quitter la pièce en évitant de regarder derrière elle. L’araignée suivit Faeryl dans le couloir avant de s’arrêter devant la porte d’entrée. L’Elfe s’arrêta également et sourit doucement à l’araignée.
"Surtout ne dis rien à Lolth…"
Doucement Faeryl sortit de la maison et rabattit le capuchon de sa cape sur sa tête tout en se dirigeant vers les écuries. Pour là elle voulait aller, aller à pied serait bien long. Elle décida donc de prendre son cheval, après il lui appartenait, elle pouvait donc l’utiliser quand bon lui semblait, même pour là où elle se rendait. Les écuries de la maison des Baenre n’étaient éclairées que par quelques torches, laissant une grande partie de pénombre. Ici aussi, il y avait pas mal d’araignées qui grouillaient dans tous les coins, beaucoup plus petites que celle de la maison. Les écuries de cette maison n’étaient particulièrement grandes, juste assez pour que tous les chevaux de la famille, c'est-à-dire 5, soient tous là, ainsi que la sellerie. Faeryl attrapa la selle et le filet qui correspondaient à son cheval avant d’entrer dans le box et de le préparer. Ce cheval entièrement noir n’était pas particulièrement grand, assez court sur pattes, il restait cependant massif et il gardait son encolure assez haute, le rendant plus grand qu’il n’était. Assez nerveux comme la plupart des chevaux des Elfes Noirs, Faeryl avait appris à faire avec ses sautes d’humeur et à garder la maîtrise de son cheval quelque soit les circonstances, même si elle n’était pas censée partir de Menzoberranzan. Une fois bien sellé, Faeryl attrapa une des rênes et emmena son destrier hors des écuries et petit à petit hors du domaine des Baenre.
Les rues de Menzoberranzan étaient toujours animées, comme si la nuit ne semblait affectée le commerce qui régnait au sein de la ville. Faeryl jeta un rapide coup d’œil vers une immense cage, des humains. Des villageois de la surface faits prisonniers et maintenant esclaves. Il y en avait de plus en plus maintenant que Sauron avait de nouveau son anneau unique. Les hommes, femmes et enfants entassés dans cette prison de fortune semblaient apeurés, le cauchemar allait commencer, ils ne reverraient jamais le soleil, ils seraient séparés de leur famille. La plupart semblait surtout apeuré par les araignées qui grouillaient partout dans la cité. Certaines très petites alors que d’autres avaient la taille de leur chien. Une des femmes qui tenait son enfant contre elle, regarda l’Elfe Noir avec son cheval passé. Faeryl ne serait dire si c’était de la peur ou de la haine qui y avait dans ses yeux, c’était peut être un mélange des deux… Faeryl continua son chemin et commença doucement à monter les niveaux supérieurs. Son objectif ? La surface. Quand elle commença à quitter les quartiers les plus reculés de Menzoberranzan, elle grimpa sur une pierre pour montrer tranquillement sur le dos de son cheval. Il leva soudainement la tête avant de pénétrer d’un bon pas dans les tunnels encore plus obscurs. Le souffle roque de l’animal résonna dans ces étroits tunnels. Sans torche ou d’yeux d’Elfe Noir, personne ne pourrait se repérer. Même si ces chemins étaient interdits aux Elfes Noirs qui n’étaient ni guerrier ni marchand, tout le monde savait comment sortir de Menzoberranzan. Ce n’était un secret pour personne car personne n’était censé monter. La surface signifiait rejeter Lolth, rejeter sa propre nature, sauf si son ascension apportera quelque chose à la cité. Faeryl avait de grandes chances d’être bannie par les membres de sa famille, de son peuple, de sa déesse. Enfin tout dépendrait du résultat final de son voyage. Au bout du dernier tunnel, les rayons lunaires commençaient doucement à faire leur apparition. Personne ne savait où se trouvait l’entrer de Menzoberranzan, sauf les Elfes Noirs. Et Faeryl se demanda pendant un instant si elle souhaiterait un jour retrouvé le chemin pour redescendre… Pour la première fois de sa longue vie, Faeryl foula, enfin plutôt son cheval, le sol de la surface. Elle resta au pas pendant quelques instants, profitant de ses nouvelles sensations avant de partir au galop. Sa destination… Elle l’ignore encore…
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Dernière édition par Faeryl Baenre le Mer 2 Juin - 18:51, édité 2 fois |
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Isil Tulkas lil' Elven princess
Messages : 1320 Feuille de personnage Race: Elfe Alignement: Bon
| Sujet: Re: Faeryl Baerne | Dark Elf | Mer 2 Juin - 18:58 | |
| Félicitation, ta fiche est validée, à présent, tu peux créer ta fiche de lien de ton personnage ici avant de commencer le rp. Ensuite tu pourras commencer le rp, n'hésite pas à faire une demande de rp ici ou bien de demander un rp par mp à un membre. Amuse toi bien ! |
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