Robb Stark Aryon vëaner
Messages : 296 Age : 32 Feuille de personnage Race: Winterfell Alignement: [Bon][Neutre][Mauvais]
| Sujet: Robb Stark, un prince elfique chez les hommes Sam 15 Mai - 22:19 | |
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Je suis demi elfe ; (Homme, Elfe, Magicien, Hobbit, Orques,...) Âge approximatif 30 ans, mais semble toujours en avoir une 20aine ; Loyauté Terre du Milieu, Winterfell ; Lieu de naissance Winterfell ; Orientation Sexuelle Hétérosexuel ; Statut social Prince de Winterfell; Personalité sur l'avatar Johnny Depp;
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_« •• I want to know about it more ! »_ | History
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Robb était déjà une originalité à sa naissance. Certes, en temps de guerre, les peuples humains et elfiques étaient bien proches l'un de l'autre, mais rares étaient les hommes à pouvoir charmer le regard distant et le coeur éternel d'une femme elfique. Edward, roi du royaume humain de Winterfell, fut l'un des rares chanceux à être assez courageux et vaillant. Leur passion connu une fin où se mêlait tragédie et renouveau. Après plusieurs mois de grossesse, Raiima, la mère de Robb, dut faire face à quelques complications au moment de l'accouchement, complications qui lui coutèrent malheureusement la vie. Ce fut une dure épreuve pour Edward Stark, mais il ne pouvait pas se permettre d'être faible, pour son peuple et pour son fils.
Le jeune Robb était un enfant bien spécial. Il possédait bien évidemment la force et la fierté des hommes du Nord mais le sang elfique de sa mère nuançait le tout avec la délicatesse et la grâce que l'on connait à la race des forêts. Une chose était certaine, le jeune prince faisait le bonheur de son père. Il était discipliné et solennel dans les cérémonies et rituels royaux, mais semblait aussi prendre chaque petits détails de la vie avec légèreté et allégresse. Un rien faisait son plaisir, et on pouvait souvent entendre son rire franc résonner dans les murs de pierres taillées du château Stark. Dans son enfance, il découvrit que sa nature elfique lui permettait de comprendre et de se faire comprendre par les animaux, capacité qui l'émerveillait au plus haut point. Après cette merveilleuse découverte, il n'était pas rare de le voir se promener près des écuries, d'où il revenait généralement avec un large sourire.
Alors que Robb avait dix ans, le roi Edward trouva l'amour chez une autre femme, Catherine, qu'il épousa. Le jeune enfant fut d'abord un peu triste de voir que son père avait put oublier sa mère, mais sa sensibilité elfique le poussa à comprendre qu'on ne pouvait stopper l'amour, et il ne put que se réjouir lorsqu'il appris plus tard que Catherine était enceinte.
Puis vint au monde, 9 mois plus tard, la petite Sansa Stark. Un ange parmi les hommes. Dès son plus jeune âge, elle semblait pouvoir concurrencer en grâce avec le jeune Robb. Pour ce dernier, cette nouvelle venue dans la famille méritait tout son amour fraternel. Il comprenait qu'elle n'était pas exactement comme lui, mais ce n'était pas important.
À l'âge de quinze ans, Robb aimait bien se promener dans les forêts avoisinant le domaine du château Stark. Peut-être était-ce simplement dut à son sang elfique qui le poussait vers la nature, nature qui lui avait sérieusement manquée après tant d'année pris entre ces murs de pierres. Il était maintenant assez vieux pour chevaucher seul dans les sentiers, chose dont il ne se privait guère. Un jour, par un après-midi particulièrement doux, il vit un jeune loup errant difficilement sur le sentier. Il semblait faible et blessé, laissant une trainée de sang dans la neige. Aucune trace du reste de la meute. Avec précaution, Robb s'en saisit et le ramena au château, là où il put s'en occuper. L'instinct du petit animal le poussa à d'abord se montrer sauvage, mais le sang elfique de l'adolescent sembla le calmer. Ils passèrent par la suite de nombreuses semaines ensemble, à discuter à leur façon silencieuse. Robb finit par baptiser le loup Warri, et il devint par la suite son compagnon. Le fait de voir un louveteau libre dans les murs du château semblait en effrayer plus d'un, mais il n'était jamais bien loin de Robb, et semblait bien calme et docile en sa présence.
Un an plus tard vint au monde la dernière venue de la famille Stark: Arya. Elle était tout aussi belle et adorable que sa soeur, mais d'une autre façon. Elle était plus sociable, plus humaine, mais moins gracieuse que Sansa... moins parfaite. Robb le sentait et n'aimait pas voir tant de pression sur les épaules de la petite. Il savait qu'elle avait besoin de quelqu'un pour jouer. Alors même si les autres jeunes hommes s'entraînaient en quasi-permanence, il prenait toujours un peu de temps pour amuser la petite Arya.
Maintenant, les Stark ont vieilli. Robb à atteint la trentaine récemment, mais semble toujours être à peine âgé de vingt années. Son petit louveteau est devenue une bête énorme, d'une taille presqu'anormal pour un simple loup. Les deux êtres semblent être entré en une symbiose, ils sont liés d'une façon très profonde. Il n'est pas rare de les voir s'entraîner dans la cours du château de Winterfell, et la valse guerrière qu'ils exécutent intimide même les plus hardis. Sansa est toujours une princesse parfaite, maintenant promise au jeune Eomer du Rohan, un royaume de dresseurs de chevaux. Robb, sais qu'elle est beaucoup plus fragile qu'elle aime le laisser paraître, mais ne la forcera jamais à l'avouer, ce qui serait terrible pour elle. Il l'appuie donc, la supportant moralement. Arya n'a pas encore compris ce fait et jalouse sa soeur, lui en veut pour la pression qu'elle lui impose en permanence.
En ces temps de guerre et d'incertitude, Edward décida d'envoyer ces enfants à Fondcombe, ville elfique très connue, sous la supervision de leur tante Cersei. Robb y voit une possibilité de prouver l'honneur des hommes de Winterfell en général, et des Stark en particulier. Il sait qu'il peut combattre auprès des hommes et des elfes sans avoir à jalouser aucun des grands guerriers de ces races.
Caractère & Physique
. Robb est un jeune homme très mature et fier. Son métissage fait de lui un entrelacement très complexe des caractéristiques des hommes et des elfes, même si il semble beaucoup plus humain dut à son élevage. Il sait que chaque problème peut être résolu si on dispose des ressources nécessaires, que ce soit en temps ou en homme. Stratège établi, Robb ne craint pas les champs de bataille, même s'il n'a pas eu à affronter les orques de Sauron jusqu'à maintenant. Malgré tout ses atouts guerriers, Robb sait aussi que parfois le temps est à la rigolade et qu'il vaut parfois mieux pour le moral de s'amuser que de s'entraîner. Dans ces temps là, il aime bien passer un peu de temps avec sa soeur Arya.
Physiquement, Robb tient beaucoup plus de la race des hommes que des elfes, que ce ne soit par sa carrure intimidante et sa grande taille. Il possède cependant la grâce et l'adresse que l'on reconnait au elfes. Il possède le charisme et la prestance de la royauté, héritage tenu de son père.
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_« •• Who shares your life ? ! »_ J'accorde une grande importance à ma famille, et lorsque vient le temps de discuter de mon entourage, il serait cruel de ma pars de ne pas parler de mes deux soeurs. Sansa est la plus vieille d'entre-elles. C'est un peu la princesse parfaite, une incarnation humaine de tout ce qu'on s'attend à retrouver chez une représentante de la noblesse... du moins, c'est ce qu'elle laisse transparaître. Elle est humaine, et nous ne sommes pas parfait. Du moins, elle n'aurait jamais besoin de marcher sur son orgueil pour me demander son soutient; je lui offre en permanence. Sinon, il y a aussi Arya. Elle est plus jeune et doit vivre avec la pression que lui impose l'excellence constante de Sansa. Ça ne doit pas être facile et j'essaie en général de la faire décompresser d'une façon ou d'une autre. Il y a aussi ma tante Cersei, la soeur de mon père. Elle est un guerrière établie, un forte d'esprit, une fière parmi les hommes. Notre relation en est une de respect, mais sinon, nous avons des liens relativement froid. Non pas que nous ne nous aimons pas, mais simplement que nos intérêts ne sont pas exactement les mêmes.
Et je ne pourrais ne pas vous parler de Warri, mon loup, mon compagnon dans les combats les plus ardus. Je le comprend sans mot, et c'est réciproque. Je crois que nous possédons un lien que même certains qui se compte comme les meilleurs amis pourrait envier. _« •• And you ! Yes you, behind the computer ! ! »_ Pseudo ; Age & sexe 18 ans, j'suis un garçon! ^^; Comment as-tu découvert le forum Par une amie (Sansa); Comment le trouves-tu Jusqu'à maintenant, très bien!; Exemple de Rp ;
Exemple tiré d'un autre forum:
- Spoiler:
Quelques jours auparavant...
«J’te le dis, Santini, j’suis imbattable dans tout c’qui implique des cartes! Poker, Blackjack, peu importe, j’vais te plumer sans qu’tu puisses t’en sortir. Tu vas… »
« Ferme ta gueule et passe les cartes, j’ai hâte de voir ça! »
Dante n’était même pas près de rigoler. Ce type qui lui faisait face, ce Francis Neil, il lui tombait sur les nerfs à un point tel qu’il avait de la difficulté à se concentrer sur ses cartes. Probablement que c’était la technique de son adversaire. Ou peut-être aussi n’était-il qu’un abrutit. Abrutit ou non, Neil était un homme qui commençait à émerger sur la scène du crime organisé de Manhattan, surtout dans le jeu et la prostitution. Émerger à un point tel que Santini avait déjà accumulé certaines dettes à son égard. Pas trop de dettes, mais assez pour que le gangster envoie quelques un de ces hommes chez l’italien. Cependant, Francis, en nouveau chef de gang orgueilleux et intrépide qui se respect, avait envie de jouer un peu avec celui qui lui devait de l’argent. Il lui proposa de « jouer » pour sa dette, puisque c’était bien en jouant qu’il avait réussit à se mettre dans de beaux draps. Comme il n’avait pas trop le choix, Dante lui avait proposé le poker, puisque jusqu’à maintenant, c’était un des jeux auxquels il se montrait le plus chanceux. Quoi que jusqu’à maintenant, l’enjeu n’avait jamais été ses deux jambes, et qu’il n’avait jamais eu à jouer avec deux énormes armoires à glace le coupant de la seule issue d’un lugubre sous-sol mal éclairé. Vous savez, ce genre de condition…
Rapidement, les cartes tombèrent. Dante s’avéra assez chanceux, en effet. Il bluffait aux bons moments, misait les bons montants. En fait, Santini se débrouillait très bien, assez bien pour donner des sueurs froides à Neil. Après environ une heure de jeu, Dante avait même réussi à regagner sa dette, et même faire quelques profits. Brusquement, Richard se leva, faisant tomber tout ce qui se trouvait sur la table. Une rage d’humiliation déformait ses traits. Apparemment, il ne s’attendait pas à se faire massacrer d’une façon aussi rapide et complète. Avant qu’il ne puisse placer un mot, Dante sentit un choc puissant derrière sa tête. Des éclairs passèrent dans son champ de vision et il sentit ses jambes se dérober sous son propre poids, mais ne sentit pas le choc de son corps contre le sol. Il avait perdu conscience avant…
Quelques heures plus tard…
Le réveil fut plus pénible. La première sensation qu’il fut en état de comprendre fut l’odeur pestilentielle d’ordures moisis et humides reposant depuis plusieurs jours, voir plusieurs mois. Puis vint la rudesse de l’asphalte contre sa joue gauche, et enfin la douleur atroce derrière son crâne alors qu’il retrouvait la force de bouger. Finalement, il retrouva ses souvenirs : Neil, le poker, sa victoire qui se révéla être une cuisante défaite. Sans se retenir de pousser un flot de jurons visqueux, il se releva péniblement pour simplement constater qu’il n’avait plus un seul dollar sur lui. Neil en avait profité pour le dévaliser et l’avait abandonné dans une ruelle dégueulasse, et cette simple constatation fit monter une rage comme on en ressent peu dans la vie de tous les jours dans les veines même de Santini. Il en oublia ses blessures, il en oublia ses courbatures et il poussa un cri puissant tout en donnant un violent coup de poing dans le mur de briques, puis un coup de pied dans les nombreux sacs à ordures qui trainait par là. Son sang italien bouillait dans son for intérieur. Il devait se venger au plus tôt, il devait faire savoir qu’on ne s’en prenait pas aussi violemment à Dante Santini sans en payer le prix. C’était à ses yeux une insulte directe, et rien ne pouvait l’offusquer plus que cela. Il se vengerait. Dès qu’il serait rétabli…
Et le soir venu…
Deux jours plus tard, Dante était maintenant capable de se lever le matin sans sentir son sang lui pesé lourdement au niveau de la tête. Il allait pouvoir faire payer Neil. Il s’était informé et savait où résidait ce dernier. C’est tout ce qu’il lui fallait. Lorsque le soleil disparu finalement, Santini pris son fidele revolver ainsi qu’un gros couteau de cuisine qui lui avait servi à plusieurs reprises dans les situations les plus dangereuses. Et la pièce de résistance de son équipement : son fusil à pompe baptisé Potere. Il l’arma avant de partir et se pris deux cartouches supplémentaires. Il était fin prêt. Il jeta tout de même un coup d’œil aux gros sachets de cocaïne qui traînaient paresseusement, certains éventrés et entamés, d’autres en attente de se faire consommer. Peut-être juste un peu, avant de… Non, ça sera sa récompense une fois le fait accompli.
La maison de Neil reflétait très bien l’état de son propriétaire : une vieille baraque à laquelle de nombreux ajouts trop chic contrastaient brutalement. Dante fuma une cigarette en étudiant la maison, mais il était trop enrager pour penser profondément à une stratégie quelconque. Il voulait le sang de Neil sur ses mains. Il pouvait seulement être surpris par l’absence complète de garde. C’était assez étrange pour un chef aussi orgueilleux que ce trou du cul, mais bon, il allait bien pouvoir faire avec. Sans plus attendre, Dante quitta traversa la rue qui le séparait de la résidence, puis le terrain et arriva à la porte. Barrée, bien évidemment. Soupirant, il prit Potere et pointa la poigné. Le coup de feu qui s’échappa de l’arme défonça totalement la serrure, et le coup de pied que l’italien donna à la porte pour qu’elle s’ouvre n’était pas entièrement nécessaire.
« Francky, trou d’cul, où tu t’cache? Faut qu’on cause! »
Les lumières étaient allumées un peu partout dans la maison, et le seul son audible était celui d’une télévision à l’étage. Dante s’y rendit et tomba dans la chambre de Neil, où il trouva se dernier ne portant que ses sous-vêtements et menotté à son lit, autant les chevilles que les poignets. Un masque recouvrait ses yeux, l’empêchant de voir ce qui se tramait. Santini remarqua un léger filet de sang au coin de ses lèvres. Amusé, il dégaina son revolver pour le pointer vers son adversaire.
« Je te dérange? Tu sembles légèrement occupé mon coco! Mais bon, peu importe, ça ne sera plus important pour toi dans quelques sec… »
Le contact froid du métal d’une lame dans son cou coupa court au monologue de Dante. Il sentit une poigne ferme lui saisir son bras qui ne tenait pas d’arme, puis la délicate odeur d’une femme atteint ses narines. Il aurait du s’en douter, Neil ne s’était pas menotté seul par plaisir personnel. Il lâcha son revolver qui tomba au sol à coté de Potere. Même s’il lui restait encore son couteau attaché à sa ceinture, sa position présente ne rendait aucune tentative de dissimulation possible et la demoiselle qui se trouvait derrière lui ne pouvait pas manquer la grosse lame qui pendait à sa taille. Bref, il semblait bien cuit…
« Eh bien, apparemment, tu vas être sauvé par tes pulsions sexuelles malsaines… Sauvé par ton vice, comme toujours. On se retrouvera en enfer, salaud! »
- Spoiler:
code Ok par Isil
Dernière édition par Robb Stark. le Lun 17 Mai - 15:30, édité 16 fois |
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